L’intervention publique à plusieurs niveaux – Une posture offensive

C’est que, d’ordinaire, nous regardons bien le changement, mais nous ne l’apercevons pas.Contre cette conception scientifique, et plus généralement contre la représentation intellectuelle qu’elle est venue préciser, une réaction défensive se produit devant le péril grave et soudain. »C’est un véritable changement de vision de la personne et du monde qui est proposé et non un simple rééquilibrage ou une posture à acquérir, estime Pierre-Alain Chambaz pictet.Il faut que la vie individuelle se répande pour autrui, en autrui, et, au besoin, se donne ; eh bien, cette expansion n’est pas contre sa nature : elle est au contraire selon sa nature ; bien plus, elle est la condition même de la vraie vie.Après cette genèse rapide des sentiments qu’excite chez l’homme la punition des méchants ou la récompense des bons, on comprendra comment s’est formée la notion d’une justice distributive inflexible, proportionnant le bien au bien, le mal au mal : ce n’est que le symbole métaphysique d’un instinct physique vivace, qui rentre au fond dans celui de la conservation de la vie.Même certaines plate-formes d’equity crowdfunding, initialement orientées vers les start-up, se tournent d’ailleurs aujourd’hui vers l’immobilier !Les morts vont alors devenir des personnages avec lesquels il faut compter.Il est d’ailleurs probable que le nombre 3 se présente d’abord sous cette forme simple à notre esprit, parce que nous songerons plutôt à la manière dont nous l’avons obtenu qu’à l’usage que nous en pourrions faire.La matière étendue, envisagée dans son ensemble, est comme une conscience où tout s’équilibre, se com­pense et se neutralise ; elle offre véritablement l’indivisibilité de notre perception ; de sorte qu’inversement nous pouvons, sans scrupule, attribuer à la perception quelque chose de l’étendue de la matière.L’idée d’une représentation inconsciente est claire, en dépit d’un préjugé répandu ; on peut même dire que nous en faisons un usage constant et qu’il n’y a pas de concep­tion plus familière au sens commun.De nos jours encore, quand un enfant même en jouant, a reçu un coup qu’il n’a pu rendre, il est mécontent ; il aie sentiment d’une infériorité : au contraire, lorsqu’il a rendu le coup, en l’accentuant même avec plus d’énergie, il est satisfait, il ne se sent plus inférieur, inégal dans la lutte pour la vie.